Christelle Rebière et Vincent Parizot de RTL ont invité Claude Bamberger, vice-président de l’Aiduce, à clarifier ce qu’apporte le décret du 25 avril 2017 relatif aux conditions d’application de l’interdiction [ou non] de vapoter dans certains lieux à usage collectif et à répondre aux questions des auditeurs.
source (à 25’20 ») : http://www.rtl.fr/
Je ne voudrais pas faire du « yaka », « faucon », je souhaite seulement apporter une petite pierre à l’édifice.
Je crois qu’il faudrait essayer de faire comprendre aux gens, que ce qui est cancérigène ou/et toxique, c’est ce que dégage le TABAC BRULÉ: l’oxyde de carbone, les goudrons et les particules fines.
Or dans la vapoteuse (improprement appelée « cigarette » électronique depuis le début
et c’est dommage car c’est le terme qui effraie), on ne met pas de tabac. Il n’y a donc pas de COMBUSTION DE TABAC et par conséquent, pas ces produits dangereux.
Si vous faites bruler du tabac dans un appareil à inhalation et que vous en inspirez régulièrement, vous risquez d’avoir un cancer du poumon, exactement comme si vous fumiez.
Si nous mettions du tabac dans la vapoteuse, ( encore que j’ignore si la chose est techniquement possible) en y produisant une étincelle pour le faire bruler, elle serait aussi dangereuse que la vraie cigarette.
Mais je sais que c’est difficile…